la difficile campagne des soutiens de Bouteflika – JeuneAfrique.com

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À mesure que monte la contestation populaire contre un cinquième mandat d’Abdelaziz Bouteflika, la liste des démissions et défections dans les rangs des pro-pouvoir s’allonge, que ce soit au sein des partis du FLN et du RND, à l’Assemblée nationale ou encore parmi les membres du patronat et du syndicat UGTA.

Lundi 4 mars, le camp Bouteflika enregistre la démission de Sid Ahmed Ferroukhi du Front de libération nationale (FLN) et de l’Assemblée nationale. Tête de liste de l’ex-parti unique aux dernières élections législatives, l’intéressé explique qu’il ne pouvait pas rester sourd face aux revendications exprimées depuis le 22 février par le peuple. « Alors qu’un vent de liberté souffle sur notre pays, la raison nous incite à permettre que ce changement se concrétise de manière systématique, massif, dans la sérénité et de manière pacifique, sans possibilité de retour en arrière », soutient le député, également ex-ministre de l’Agriculture et de la pêche.


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Le même jour, six élus locaux du FLN – trois à Boghni, dans la wilaya de Tizi-Ouzou, et trois autres à Tichy (wilaya de Béjaïa) – ont annoncé aussi leur démission de leurs Assemblées populaires communales (APC) respectives, en guise de contestation contre la reconduction du système. Ces derniers ont été rejoints par le maire FLN d’Amizour et par Khaled Tazaghart, élu sur la liste du Front al-Moustakbal, qui a démissionné de son poste de député.



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JeuneAfrique

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