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Le pays affiche de bonnes performance dans l’agricole et le numérique, son enseignement supérieur est attractif. Le tourisme et l’industrie textile renouent avec la croissance, en revanche le secteur bancaire semble pour l’instant tenir l’équilibre d’un château de carte.
• Agriculture
En 2018, le secteur a progressé de 9,5 % par rapport à 2017, soit près de quatre fois plus que le revenu national. La tendance s’est confirmée en 2019 : au deuxième trimestre, la valeur ajoutée de l’agriculture a gagné 2,8 %, contre 1,2 % pour le PIB. Une bonne santé due en partie à l’exportation d’huile d’olive, dont la Tunisie est en passe de devenir le deuxième producteur mondial.
Par ailleurs, l’agriculture se modernise, avec l’essor de produits conditionnés, à plus forte valeur ajoutée, et l’utilisation d’outils modernes, tels les drones, pour plus de performances et une gestion plus rationnelle de la production. Afin de passer un palier, le secteur a besoin d’une politique lui permettant de dépasser ses limites structurelles : manque d’infrastructures efficientes pour développer les exportations hors Europe, morcellement des champs et raréfaction de l’eau.
• Numérique
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