Trésor «disparu» à Rodrigues: les deux inventeurs portent plainte

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Roger de Spéville et Georges Némorin devraient retourner sur les lieux des fouilles avec un équipement sophistiqué.

Roger de Spéville et Georges Némorin devraient retourner sur les lieux des fouilles avec un équipement sophistiqué.

Roger de Spéville et Georges Némorin, les deux randonneurs qui étaient tombés en août 2018 par hasard sur un coffre rouillé et une chimère dans une cavité rocheuse à St-François, Rodrigues, ont porté plainte à la police de Port-Mathurin pour vol de coffre et de la chimère. Dans cette déposition de sept pages faite le 26 octobre, les deux inventeurs expliquent avec force détails où se situait le coffre censé contenir un trésor et un objet représentant une chimère. Ils ont été jusqu’à expliquer par où ces objets ont été extirpés. Selon eux, «ce vol constitue un crime contre Rodrigues, l’humanité et l’histoire».

Dans la déposition, Georges Némorin a expliqué que lui et son ami n’étaient pas d’accord lorsque la commission des Arts et de la culture leur a signifié l’arrêt des fouilles le 2 octobre, après seulement quatre jours. Lui et Roger de Spéville tenaient à ce que les fouilles se poursuivent là où les archéologues n’avaient pas exploré.

Accompagné d’un huissier de justice, les deux inventeurs se sont rendus à St-François le 5 octobre et ils ont mis une trentaine de repères en forme de points rouges sur des rochers et des racines, là où des fouilles n’avaient pas été effectuées.

Georges Némorin a expliqué aux policiers de Port-Mathurin que des éléments de la Special Mobile Force avaient surveillé les lieux sans électricité et sans caméra de surveillance pendant 81 jours et que ce n’est que le 28 septembre que l’électricité a été installée sur place.

Bande organisée

Lui et Roger de Spéville estiment que c’est une bande organisée qui a été à l’oeuvre et qui a emporté en douce le coffre et la chimère. Ils ont précisé avoir vu des traces de rouille à un mètre de profondeur contre le gros rocher où se trouvait la chimère. Échantillons de rouille qui ont été envoyés en Afrique du Sud pour y être analysées.

Selon le journal Kozé Rodrigues, à partir du 20 novembre, les deux inventeurs se rendront à nouveau sur les lieux avec un équipement sophistiqué permettant de voir des artefacts sous terre, afin de détecter la présence éventuelle d’or là où ils ont mis des repères en compagnie de l’huissier.

Les deux inventeurs offrent Rs 100 000 à la personne qui leur permettrait de récupérer la chimère.


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Lexpress

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