la bataille diplomatique se joue aussi en Afrique de l’Est – JeuneAfrique.com

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Paul Kagame et Tamim ben Hamad Al-Thani, lors du Qitcom 2019.

Paul Kagame et Tamim ben Hamad Al-Thani, lors du Qitcom 2019. © Présidence rwandaise


Alors que le dirigeant rwandais Paul Kagame atterrissait au Qatar le 28 octobre pour assister à un événement consacré aux nouvelles technologies, son homologue kenyan Uhuru Kenyatta se rendait, le lendemain, au « Davos du désert », en Arabie saoudite. L’occasion pour ces deux pays arabes rivaux de raffermir leurs relations diplomatiques et économiques en Afrique de l’Est, une région stratégique.


Entre Doha et Riyad, la concurrence diplomatique se joue aussi en Afrique de l’Est. À l’occasion de la troisième édition du Future Investment Initiative (FII), surnommé le « Davos du désert », le président kényan Uhuru Kenyatta s’est rendu en Arabie saoudite où il s’est notamment entretenu avec le roi Salman Ibn Abdelaziz Al saoud. Si l’on pouvait compter sur la présence d’autres chefs d’État africains comme le Nigérian Muhammadu Buhari et le Nigérien Mahamadou Issoufou, les ambitions saoudiennes s’expriment avec plus d’acuité à l’Est du continent. L’événement, important outil de softpower, a vu beaucoup de participants prévus annuler leur venue après la disparition du journaliste saoudien Jamal Khashoggi.




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JeuneAfrique

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