États-Unis: un violeur pédophile récidiviste recherché après avoir été relâché “par erreur”

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Un détenu américain de 31 ans, condamné en 2015 pour viols et pédophilie, a été libéré “par erreur” de sa prison dans l’état de Géorgie vendredi dernier. Il est désormais activement recherché par les autorités.

Aux États-Unis, un homme condamné à perpétuité pour viol et pédophilie a été relâché par erreur, rapporte le quotidien américain The New York Times.

Tony Maycon Munoz-Mendez, un homme de 31 ans qui était incarcéré depuis 2015 à la prison Rogers de Reidsville en Géorgie, avait été condamné à la prison à perpétuité pour des viols commis entre 2010 et 2012, ainsi que des agressions sexuelles sur des enfants en 2010.

Pour une raison encore inconnue, l’individu a été relâché vendredi dernier vers 11h30, ont révélé les autorités de l’état de Géorgie ce lundi.

Un communiqué publié 3 jours plus tard

Avec près de 52.000 détenus, l’établissement pénitentiaire est l’un des plus importants des États-Unis. La prison n’a communiqué sur cette libération que ce lundi, soit trois jours après l’incident. Par ailleurs, les autorités n’ont pas précisé les raisons pour lesquelles cette erreur s’était produite, ni pourquoi elle n’avait pas été rendue publique plus tôt.

*Press Release* Inmate Escape / Release in Error–> https://t.co/PfDoGg2JP1 pic.twitter.com/X6VEAVAujm— Georgia Corrections (@GA_Corrections) 28 octobre 2019

Une enquête interne a été lancée afin de déterminer les circonstances de cette libération, a fait savoir Lori Benoit, un porte-parole du département de Géorgie.

“La priorité de la police de Géorgie est d’appréhender l’homme le plus rapidement possible”, a-t-il ajouté, demandant de l’aide pour capturer l’individu en fuite. “À l’heure actuelle, nous utilisons toutes les ressources qui sont à notre disposition pour faire avancer les recherches”.

John Warr, le procureur du comté de Gwinnett chargé de l’affaire, a déclaré au journal américain que Munoz-Mendez avait commencé à agresser sexuellement la fille d’une amie à lui lorsque celle-ci avait 7 ans, avant de la violer plusieurs années plus tard. Lorsqu’il a appris sa libération, John Warr a immédiatement pris contact avec la victime et sa famille d’accueil pour les en informer, car les autorités ne l’avaient pas fait dans les délais réglementaires.



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