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Décentralisation accrue, statut spécial aux régions anglophones, remaniement gouvernemental… Le chef de l’État camerounais entend avancer rapidement pour mettre en oeuvre les recommandations du « grand dialogue national », mais rencontre des résistances, jusqu’au sein de son propre camp.
Comme il l’a promis à Emmanuel Macron, le 10 octobre à Lyon, Paul Biya veut rapidement trouver une solution à la crise anglophone. Lors de la prochaine session parlementaire, traditionnellement consacrée à l’examen de la loi de finances, son gouvernement devrait présenter un projet de loi prévoyant une « décentralisation accrue » ainsi que l’octroi d’un statut spécial aux régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. À l’heure où nous mettions sous presse, le chef de l’État camerounais refusait toutefois encore de faire libérer le sécessionniste Sisiku Ayuk Tabe.
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