Une ancienne infirmière avoue que l’hôpital où elle travaillait envoyait des bébés nés vivants dans des chambres pour mourir

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Ces accusations ont suscité un véritable scandale dans l’état de l’Illinois, aux Etats-Unis. Une infirmière a révélé au congrès que l’hôpital où elle travaillait envoyait des bébés avortés nés vivants dans des chambres pour mourir. Des révélations qui ont indigné les députés en charge du dossier. Ces accusations ont été réfutées par la clinique de l’Illinois mais continuent de semer le doute autour du traitement des bébés nés vivants issus d’une interruption volontaire de grossesse. Cette information nous est relayée par nos confrères de Fox News.

Des troublantes accusations d’une ancienne infirmière d’une clinique de l’Illinois ont soulevé le débat sur les traitements de bébés nés vivants suite à un avortement. Selon les propos de l’ancienne employée de la Christ Clinic, l’établissement enverrait des bébés avortés nés vivants dans des chambres pour mourir. Un témoignage qu’elle n’a pas hésité à porter devant le Congrès.

Des bébés laissés pour morts

De troublantes accusations d’infanticide planent sur la Christ Clinic dans l’état de l’Illinois. Ce témoignage met en lumière la loi sur la protection des survivants d’un avortement. Selon l’ancienne infirmière de l’établissement, il existerait une chambre spécialement dédiée aux bébés vivants suite à l’interruption volontaire de grossesse (IVG), une pièce où le personnel soignant les laisserait sciemment mourir. 

Un témoignage glaçant

 Elle se souvient d’une expérience troublante avec un bébé atteint de trisomie. « Une nuit, une collègue amène un bébé vivant de 21 semaines. Il est mort dans notre buanderie parce que ses parents n’avaient pas l’intention de le retenir. Je n’ai pas pu supporter l’idée de le laisser mourir seul alors je l’ai bercé pendant ses 45 minutes de vie » raconte Jill Stanek, l’infirmière diplômée et activiste du mouvement pro-vie. Elle a également publié dans un article les sévices dont l’établissement serait coupable. « Avant la création de « la salle de confort », les bébés ont été emmenés dans la buanderie pour mourir. Il n’était pas rare que dans cet établissement un bébé avorté vivant s’attarde plus de deux heures » déclare Jill Stanek. Des accusations qui ont suscité le débat en février sur le projet de loi porté par Ralph Northam, pédiatre et gouverneur de Virginie. Cette mesure juridique assouplirait les conditions pour interrompre sa grossesse, repoussant le délai d’avortement au dernier trimestre de grossesse au cas où la mère serait en danger.

Northam dans la tourmente

« Dans ce cas-là, le nourrisson est mis au monde et sera réanimé si les parents le désirent. Ensuite, une discussion aura lieu entre les médecins et la mère » déclare le gouverneur de Virginie. Des propos qui ont tout de suite entrainé une levée de boucliers parmi les élus républicains. « Les démocrates sont devenus le parti des avortements tardifs, des impôts élevés, des frontières ouvertes et du crime » a tweeté le président Donald Trump. Des accusations auxquelles l’intéressé a répondu d’un revers de main. « J’ai voué ma vie aux enfants et toute insinuation est honteuse et écœurante » a martelé le gouverneur sur les réseaux sociaux.

Avortement : un impact psychologique 

Qu’elles que soient nos convictions concernant l’interruption volontaire de grossesse (IVG), cet acte n’est pas sans conséquences sur l’état émotionnel de la femme et du couple. Si quelquefois cette procédure peut être ressentie comme un soulagement, il n’est pas rare que certaines femmes soient prise d’un chamboulement psychologique inhérent à cette décision. Un sentiment de culpabilité et de regrets peut être présent, et ce , même en cas de grossesse ultérieure. Des cellules d’accompagnement sont prévues pour soutenir les femmes ayant pris volontairement la décision d’interrompre leur grossesse.



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