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Depuis quelques jours, une grande partie des moins de 30 ans se mobilise, avec enthousiasme et détermination, contre la candidature d’Abdelaziz Bouteflika à un cinquième mandat. Décryptage.
Le vendredi 22 février avait mal commencé pour Hania Chabane, 24 ans, comédienne et assistante de production dans une société privée. Arrivée tôt le matin place du 1er-Mai (Alger centre) pour participer à la première manifestation contre le cinquième mandat du président Bouteflika, Hania est immédiatement arrêtée par des policiers en civil. Après cinq heures au commissariat, elle est relâchée. La suite de sa journée sera euphorique. Présente dans le cortège des manifestants qui défilent devant la Grande Poste, Hania est portée par la foule dans une ambiance joyeuse et fiévreuse comme la capitale n’en pas connu depuis des lustres.
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Le lendemain, sa photo, bras en croix et emblème national à la main, devient virale. Une icône de la protestation est née. « Le matin, je me suis sentie seule dans ce commissariat, raconte Hania. L’après-midi, je me suis sentie protégée par la foule. Rien ne pouvait m’arriver. »
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