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Le président nigérien Mahamadou Issoufou a décidé de quitter le pouvoir en avril 2021, adoubant pour lui succéder son ministre de l’Intérieur Mohamed Bazoum. Une sagesse assez rare sur le continent pour être saluée.
On peut dire ce que l’on veut de l’entretien que le président Mahamadou Issoufou a accordé à JA au début d’août, sauf qu’il a laissé ses lecteurs indifférents. Agacement de la part de certains de ses pairs, qui ne supportent guère de se voir administrer indirectement les leçons de bonne gouvernance démocratique dont « Zaki » (« le lion », en haoussa) est coutumier. Applaudissements chez tous ceux qui se satisfont de voir un chef d’État tenir sa promesse cardinale de respecter le nombre de mandats que lui octroie la Constitution, avec en prime une rare touche d’honnêteté : aurais-je voulu m’éterniser au pouvoir, ajoutait-il, que les Nigériens m’en auraient empêché.
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