Samer : Suite à l’annonce du décès du bébé, le profil facebook de la mère humilié

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Terrible nouvelle que nous annoncions en fin d’après-midi avec le décès de la petite Hanëya.

Les internautes ont décidés de montrer leur colère et ont trouvé le profil facebook de la mère de la petite fille. Aussitôt, ils ont pris à bras le corps cette affaire sans en lynchant publiquement les parents.

” Meurtrière, bourreaux, inconscient ” tous ses mots témoignent de la tristesse profonde dont les internautes ont eu a coeur de s’exprimer publiquement et souhaite une peine judiciaire exemplaire à l’encontre de ses parents… Mais la justice l’entendra-t-elle sur ce point ?

Sur une publication totalement hasardeuses, les internautes n’y vont pas de mains mortes et parfois en oublie le sens de leur paroles qui pourraient avoir de lourdes conséquences judiciaires.

Une voiture s’est encastrée sous le pont ferroviaire lundi 19 août. Le nourrisson, qui était hospitalisé au Centre hospitalier de Lille, est décédé ce mercredi 21 août. Les parents, alcoolisés au moment des faits, sont en cause.

Dans la nuit, les parents ont quitté précipitamment l’hôpital et étaient depuis activement recherchés par la gendarmerie. Ils ont pu être interpellés et placés en garde à vue vers 14 heures, mercredi 21 août. Ils devront s’expliquer sur les raisons qui les ont poussé à prendre la fuite, laissant derrière eux leurs enfants hospitalisés.

D’après nos informations, des éléments suggéraient que la mère, qui était au volant du véhicule, aurait pu être alcoolisée au moment de l’accident. Un prélèvement sanguin réalisé à l’hôpital devrait prochainement pouvoir déterminer si tel était bien le cas.

1h avant l’accident lundi soir, le père a tenté de poignarder un homme, susceptible d’être l’amant de la mère.

Énième rebondissement dans l’affaire de l’accident à Samer. 1h avant la collision lundi 19 août, “le père a essayé de poignarder un homme, susceptible d’être l’amant de la mère“, a indiqué le parquet de Boulogne-sur-Mer, confirmant une information de La Voix du Nord.

La mère était elle-même “présente au moment de cette tentative d’assassinat“, a ajouté Philippe Sabatier, l’adjoint au procureur. Ce sont d’ailleurs pour ces faits que les parents sont entendus en garde à vue cet après-midi. Ils le seront sur l’accident “ultérieurement“, dans une seconde garde à vue, nous explique-t-on au parquet.

Ils ont été retrouvés ce mercredi après-midi, vers 14h, tous deux en état d’ébriété. La mère a été condamnée en 2011 pour vol à main armé et pour consommation de stupéfiants, selon le parquet de Boulogne-sur-Mer.

Facebook Ce qu’on risque quand on publie des insultes ou des menaces

Il s’agit d’injures. Pour qu’une injure soit caractérisée, il faut qu’elle soit discriminatoire, c’est-à-dire « commise envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une prétendue race ou une religion déterminée » « de leur sexe, de leur orientation sexuelle ou identité de genre ou de leur handicap ».

La loi différencie aussi le caractère public ou privé de l’injure. Si elle est publique, comme dans un commentaire Facebook ou un tweet, elle est considérée comme un délit et peut être punie de six mois d’emprisonnement et de 22 500 € d’amende.

Si elle est privée, comme dans un message Messenger ou Whatsapp par exemple, et « non précédée de provocations », elle est passible d’une amende de 12 000 €.

Outre l’infraction pénale, la personne qui a subi l’injure peut aussi être indemnisée au titre du préjudice moral, afin d’obtenir des dommages et intérêts. Enfin, le tribunal peut condamner à l’affichage ou à la diffusion de la décision prononcée.

Attention : partager de façon publique un contenu haineux que l’on n’a pas créé soi-même, comme dans le cas du retweet ou du partage Facebook, est considéré par la justice comme « complicité » et puni de la même peine.

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