[ad_1]
L’ancien président béninois Thomas Boni Yayi ne rate pas une occasion de tacler son successeur, Patrice Talon, et rêve de faire son come-back.
La retraite, très peu pour lui. Thomas Boni Yayi a quitté le pouvoir il y a bientôt trois ans et il fêtera, en juillet, son soixante-septième anniversaire. Il aurait pu, ainsi qu’il l’avait promis dans une interview qu’il nous avait accordée en 2013, « prendre [sa] Bible pour parcourir les contrées et prêcher l’Évangile ». À l’époque, il avait proposé à son « frère » centrafricain François Bozizé de laisser derrière lui les querelles politiciennes et de l’accompagner dans son périple.
Mais, à voir l’ancien président béninois se mêler à la multitude à la moindre occasion, aller à la rencontre des militants de son parti pour faire avec eux le procès de la gouvernance de son successeur à la tête du pays, s’afficher sur les réseaux sociaux en plein footing ou courir présenter ses condoléances à des familles éplorées, on pourrait presque croire qu’il n’a jamais quitté le palais de la Marina.
Cet article est réservé aux abonnés
Abonnez-vous à partir de 7,99€pour accéder à tous les articles en illimité
Déjà abonné ? Identifiez-vous ›
Vos avantages abonné
- 1. Accèdez en illimité à l’ensemble des articles sur le site et l’application Jeuneafrique.com (iOs & Android)
- 2. Bénéficiez en avant première, 24 heures avant leur parution, de chaque numéro et hors séries Jeune Afrique sur l’application Jeune Afrique Le Magazine (iOS & Android)
- 3. Recevez la newsletter économie quotidienne réservée aux abonnés
- 4. Profitez de 2 ans d’archives de Jeune Afrique en édition numérique
- 5. Abonnement sans engagement de durée avec l’offre mensuelle tacitement renouvelable*
*Service uniquement disponible pour les abonnements à durée libre.
[ad_2]
Source link
Have something to say? Leave a comment: