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Pour s’adapter à la nouvelle réglementation américaine, les autorités chérifiennes ont restructuré leurs réseaux de lobbying dans la capitale fédérale. Avec un double objectif : plaider leur cause dans le dossier du Sahara et promouvoir leur rôle régional.
Sur la colline du Capitole tout comme dans les coulisses de l’aile ouest de la Maison-Blanche prolifère en toute légalité un type particulier de conseillers : les lobbyistes. Dans la première puissance du monde, le lobbying s’avère un business lucratif, que ce soit pour le compte de grandes firmes ou pour celui de gouvernements étrangers – ce qu’on appelle pudiquement la « communication institutionnelle ».
Et le Maroc n’est pas le moins actif dans le secteur. C’est même l’un des gros clients des cabinets de conseil de K-Street, l’avenue où la plupart de ces firmes ont élu domicile. L’objectif principal du lobbying marocain ? Défendre sa souveraineté territoriale sur le Sahara auprès des membres du Parlement et de l’Administration américaine.
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