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Derrière les cérémonies d’hommage à Alassane Ouattara qui se multiplient dans le septentrion ivoirien se dévoile un enjeu que le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly n’a pas caché : effacer les traces de Guillaume Soro, ex-président de l’Assemblée nationale qui a pris ses distances avec la mouvance présidentielle.
Samedi 26 juillet, à Ferkessédougou, au cœur du fief électoral de Guillaume Soro dans le Nord. Du haut de la tribune installée sur la place Alassane-Ouattara sous le soleil brûlant de cette fin du mois de juillet, Amadou Gon Coulibaly ne passe pas par quatre chemins. « Notre mobilisation de ce jour efface à jamais les quelques traces qu’auraient pu laisser ici les mensonges proférés par quelques opportunistes à la recherche d’assise politique », a martelé le Premier ministre d’Alassane Ouattara, devant quelques 26 000 personnes convoyées pour la plupart depuis les onze régions du nord du pays.
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