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Nommée émissaire pour la jeunesse de l’Union africaine, la Tunisienne Aya Chebbi, qui se définit comme une « féministe panafricaniste », entend bien faire entendre la voix des jeunes sur le continent.
Avec sa robe et son sac à main bariolés, Aya Chebbi ne passe pas inaperçue dans le hall du siège de l’Union africaine (UA), à Addis-Abeba, où se tient le 32e sommet de l’institution. Et la très dynamique Tunisienne de 31 ans, nommée en novembre émissaire pour la jeunesse de l’UA, compte bien se faire entendre. « On parle toujours de la jeunesse africaine, mais on ne la voit pas pendant ce sommet », soupire-t-elle.
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