disparition de Béji Caïd Essebsi, héritier de Bourguiba à la présidence contrastée – JeuneAfrique.com

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Béji Caïd Essebsi, lors d’une rencontre avec la presse en marge du 32e sommet de l’UA, le 10 février 2019 (image d’illustration). © Zacharias Abubeker Pour Jeune Afrique


Hospitalisé et placé en soins intensifs, le chef de l’État tunisien Béji Caïd Essebsi est décédé jeudi 25 juillet à l’âge de 92 ans. De son engagement pour l’indépendance à sa présidence « progressiste » au bilan contesté, en passant par ses responsabilités au début de l’ère Ben Ali, retour sur l’itinéraire d’un enfant du siècle.


« BCE ». C’est sous cet acronyme que les Tunisiens parlaient de lui. Un label, loin de toute irrévérence. Une étiquette, doublée d’un surnom – « Bajbouj » – , signe de l’affection de certains pour ce pape de la politique tunisienne à l’humour cinglant.

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