Violence estudiantine: «Il faudrait que les parents puissent corriger leurs enfants»

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Les membres de l’UPSEE étaient face à la presse ce mardi 19 février.

Les membres de l’UPSEE étaient face à la presse ce mardi 19 février.

Les membres de l’Union of Private Secondary Education Employees (UPSEE) se disent choqués face aux actes de violence perpétrés par les jeunes récemment. Ils envisagent même la création d’une «School Violence Protection Platfeform» dans les semaines à venir. 

C’est ce que le président de l’association, Jhugdamby Bhojeparsad, a déclaré face à la presse ce mardi 19 février. Il dit espérer qu’avec la mise en place de cette plateforme, tous les principaux concernés pourront trouver une solution pour redresser la barre.

Dans la foulée, il soutient que les règlements à l’école devraient être plus sévères. Le président de l’UPSEE appelle aussi les parents à leurs responsabilités. «Le rôle des parents a diminué. Les enfants ont beaucoup plus de réactions négatives. Il faudrait que les parents puissent corriger leurs enfants.»

Jhugdamby Bhojeparsad se pose, par ailleurs, plusieurs questions sur les fonctions de l’Ombudsperson for Children. «Pourquoi dès le départ, ils ne cherchent pas à aider les jeunes ?» 

Dans un autre volet, l’UPSEE a présenté son nouveau plan de pension. C’est Kirk Varaden, le Chairman du Chartered Brokers Group, qui a expliqué les différentes modalités qui seront employées pour que les membres du syndicat puissent bénéficier du meilleur plan de pension possible. Les membres ont jusqu’au 15 avril pour y souscrire.


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