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Tandis que le pouvoir intensifie la répression du mouvement de contestation en multipliant les arrestations, les syndicats des travailleurs et des patrons ont changé de tête. Un simple « ravalement de façade », estime une partie de l’opposition et de la société civile, qui dénonce des « méthodes d’intimidation anciennes ». Décryptage.
Au moins 34 personnes, arrêtées en marge des deux dernières manifestations hebdomadaires contre le régime, organisées chaque vendredi dans le pays depuis février, sont détenues à la prison d’El Harrach, à Alger. Leur tort ? Avoir brandi un drapeau amazigh durant l’une de ces marches populaires.
Poursuivis pour « atteinte à l’unité nationale » sur le fondement de l’article 79 du Code pénal, tous encourent jusqu’à dix ans de prison ferme. Un premier groupe de manifestants, interpellés le 21 juin, sera fixé sur son sort le 10 juillet, date à laquelle il comparaîtra devant la chambre d’accusation près la cour d’Alger. « Ils gardent le moral et se soutiennent mutuellement. Ils sont conscients d’être victimes de la répression du mouvement de contestation », confie l’avocate Aouicha Bekhti, qui défend plusieurs d’entre eux.
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