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C’est la thèse des services de renseignements burkinabè. Le HCR affirme de son côté n’avoir reçu aucune preuve de ces allégations.
Les services de renseignement burkinabè estiment que certains jihadistes se servent des camps de réfugiés du Nord comme refuges temporaires. Ils se fondent notamment sur l’analyse des téléphones (appels, données GPS, photos…) de suspects surveillés ou interpellés.
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