un conte tendre et cocasse du marocain Mahi Binebine – JeuneAfrique.com

0
144

[ad_1]


L’écrivain et artiste marocain Mahi Binebine. © DR / Mahi Binebine


Avec son précédent roman, « Le Fou du roi », Mahi Binebine nous avait ouvert les portes du palais de Hassan II. C’est une tout autre sorte de cour que l’on découvre dans « Rue du Pardon ».


À travers le regard de Hayat, 14 ans, on suit la vie dans le lupanar d’un quartier populaire de Marrakech. Pour échapper à son père, qui abuse d’elle avec le silence complice de sa mère, la jeune fille fuit chez la diva Serghinia, qu’elle surnomme « Mamyta ». Elle est fascinée à la fois par la danseuse envoûtante et par la patronne à la poigne de fer, aussi crainte pour les ragots qu’elle colporte qu’adulée pour son charme hypnotique.

Vous êtes à présent connecté(e) à votre compte Jeune Afrique, mais vous n’êtes pas abonné(e) à Jeune Afrique Digital

Cet article est réservé aux abonnés


Abonnez-vous à partir de 7,99€pour accéder à tous les articles en illimité

Déjà abonné ?

Besoin d’aide

Vos avantages abonné

  1. 1. Accèdez en illimité à l’ensemble des articles sur le site et l’application Jeuneafrique.com (iOs & Android)
  2. 2. Bénéficiez en avant première, 24 heures avant leur parution, de chaque numéro et hors séries Jeune Afrique sur l’application Jeune Afrique Le Magazine (iOS & Android)
  3. 3. Recevez la newsletter économie quotidienne réservée aux abonnés
  4. 4. Profitez de 2 ans d’archives de Jeune Afrique en édition numérique
  5. 5. Abonnement sans engagement de durée avec l’offre mensuelle tacitement renouvelable*

*Service uniquement disponible pour les abonnements à durée libre.






[ad_2]

Source link

JeuneAfrique

Have something to say? Leave a comment: