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Lancée le 4 avril à l’initiative du maréchal Khalifa Haftar, l’opération Déluge de dignité s’embourbe dans les faubourgs de la capitale Tripoli. Et ne fait que désespérer un peu plus la population.
Grosse fatigue à Tripoli. Difficile de parler de gueule de bois. Pas franchement dans la culture locale. Surtout, près de huit ans après la liesse, l’ivresse a eu le temps de retomber. Les nouveaux combats qui secouent la capitale ne sont pas de nature à apaiser la migraine de tous ceux qui espéraient des lendemains qui chantent après la chute de Mouammar Kadhafi.
Il suffit de parler avec Nadia al-Isawa pour s’en convaincre. Cette Tripolitaine, qui s’entasse avec une dizaine de personnes de sa famille dans un trois-pièces à proximité d’Aïn Zara, banlieue sud de Tripoli, lâche un soupir et concède, abattue, qu’elle est « fatiguée… fatiguée… fatiguée… ». Le même sentiment se lit sur le visage de ses proches.
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