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D’un côté, Mathias Eric Owona Nguini, un Fang-Béti-Bulu. De l’autre, Patrice Nganang, un Bamiléké de l’Ouest. Ces deux professeurs d’université ne cessent de s’opposer, en s’en prenant notamment aux origines de l’autre.
L’on ne sait toujours pas pourquoi, dans ses posts, Mathias Eric Owona met une majuscule à la première lettre de chacun de ses mots. Ni davantage pourquoi Patrice Nganang commence chacune de ses journées, sur Facebook, par quelques lignes d’autoportrait. Où ces professeurs d’université trouvent-ils le temps de tenir en haleine les réseaux sociaux ?
C’est à peu près leur seul point commun. Pour le reste, tous deux ne sont que les acteurs d’une rivalité qui les dépasse et dont les relents nauséabonds empoisonnent le Cameroun.
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