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Dans un cadre flambant neuf, la jeune cinémathèque de Tunis assure sa programmation avec de petits moyens. Tout en espérant restaurer les grandes œuvres nationales pour leur donner une seconde vie.
C’est un décor de superproduction. Un globe vert enchâssé dans une tour de 60 m de haut surplombe une arche colossale, des colonnades et des créneaux. Entre avenue et route, l’immense bâtiment rectangulaire de la Cité de la culture de Tunis se repère de loin. Style soviétique ? Non : bénaliste ! Si le chantier, commencé il y a plus de dix ans, porte la trace de l’ancien régime, le complexe a été inauguré en mars 2018, tout comme la nouvelle cinémathèque de Tunis. Située au troisième étage, cette dernière invite à plonger dans la mémoire du pays. Version affiches sépia, bobines et panneaux de bois. Loin du hall monumental qui a la froideur d’un centre commercial.
Programme éclectique
« La difficulté consiste à investir cet espace et à lui donner du sens et une âme », murmure son directeur artistique, le documentariste Hichem Ben Ammar, en poussant la porte de la salle. Des silhouettes
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