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Le Premier ministre israélien Shimon Peres reçu par l’émir du Qatar Hamad ben Khalifa al-Thani, le 2 avril 1996 à Doha. © QNA/AP/SIPA
Si officiellement Tel-Aviv et Doha n’entretiennent pas de relations diplomatiques, des échanges entre les deux pays se développent depuis les années 1990. Objectifs, pour l’un comme pour l’autre : diversifier les partenariats et augmenter son influence géopolitique au Moyen-Orient.
Une voiture transportant trois valises noires remplies de 15 millions de dollars (13,3 millions d’euros) en liquide. Depuis novembre 2018, l’image fait polémique sur les réseaux sociaux : cette grosse somme d’argent qui voyage tranquillement sur les routes israéliennes vient rien de moins que… du Qatar. Distribués dans les guichets postaux de Gaza, ces billets serviront à payer les salaires des 20 000 fonctionnaires du Hamas, bloqués par le président palestinien Mahmoud Abbas pour faire pression sur le mouvement islamiste qui gouverne la bande. Cet argent a également en partie financé la reconstruction d’infrastructures et les soins sanitaires des habitants palestiniens de cette enclave au bord d’une crise humanitaire majeure.
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