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En Mauritanie, le géant canadien Kinross affirme ses ambitions pour le développement de son gisement d’or de classe mondiale, malgré des désaccords avec Nouakchott. Rencontre avec Brahim M’Bareck, vice-président des relations extérieures de Tasiast Mauritanie Limited S.A.
Depuis son acquisition en 2010 par Kinross, la mine d’or de Tasiast, parmi les plus importantes d’Afrique, perd de l’argent. Le géant minier ne se décourage pas pour autant : l’ancien ministre Brahim M’Bareck annonce une levée de fonds de 300 millions de dollars. Une preuve de la volonté de la major de demeurer durablement en Mauritanie, même si Nouakchott refuse pour le moment l’attribution d’une concession sur l’extension du permis minier.
Jeune Afrique : Tasiast dispose d’un excellent outil qui a produit 7 tonnes d’or en 2018, mais qui connaît des pertes récurrentes. Pourquoi ?
Brahim M’Bareck : Non seulement une mine exige des investissements énormes qui mettent longtemps à être rentables, mais celle de Tasiast a nécessité la construction d’infrastructures très lourdes (routes et énergie) et une cité minière en plein désert.
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