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Notre organisme est un système fonctionnant à plein temps, rythmé par plusieurs interactions qui définissent notre état de santé global. Une défaillance, ne serait-ce que minime, peut engendrer des répercussions variées qu’on appelle généralement les petits maux du quotidien : migraine, ballonnements, douleurs…etc. Découvrez dans cette article une recette au citron pour en venir à bout.
Afin de limiter ces petits dysfonctionnement de notre système interne, il suffit parfois d’intégrer une recette à sa routine quotidienne pour retrouver une bonne santé et un organisme qui fonctionne de manière optimale. Cette recette est complètement naturelle et se base sur un mélange de 3 ingrédients aux bienfaits reconnus.
Le gingembre
Utilisé la plupart du temps comme épice, le gingembre a de puissantes facultés anti-inflammatoires. Il limite la génération de prostaglandines, les hormones à l’origine des réactions inflammatoires. C’est la raison pour laquelle il est utilisé en cas de rhumatisme. Grâce à sa teneur en gingérol, unélément actif qui agit sur la muqueuse de l’estomac, il permet de venir à bout des états nauséeux dus au vertige ou au voyage. Si vous avez le mal de mer par exemple, vous pouvez le prendre avec un jus d’orange pour prévenir les nausées.
Si vous pratiquez des activités extrêmes ou que votre rythme journalier est particulièrement chargé, inclure du gingembre dans votre quotidien vous permettra de gagner en vitalité et en énergie grâce à sa composition en vitamine C, en sels minéraux et en oligo-éléments comme le magnésium et le calcium.
Le miel
Le miel est définitivement un ingrédient à intégrer dans sa routine quotidienne. Grâce à son goût sucré, on peut le substituer au sucre blanc, ce qui en fait un bon choix pour les personnes diabétiques puisqu’il a également un indice glycémique assez faible. Il contient entre autres, des flavonoïdes : des antioxydants qui permettent de prévenir l’apparition de maladies cardio-vasculaires et neurodégénératives.
C’est aussi un aliment recommandé pour vous aider à bien dormir. Le miel avec sa composition en glucides libère de l’insuline dans le sang ce qui aide à assimiler le tryptophane par le cerveau. Cet acide aminé est par la suite converti en sérotonine, un neurotransmetteur aux vertus relaxantes, sédatives et apaisantes.
Le citron
Le citron contient de la vitamine C qui participe à la synthèse de noradrénaline, (un neurotransmetteur) limitant ainsi le stockage des graisses. Il a également un effet hypoglycémiant, c’est-à-dire la réduction de l’index glycémique dans le sang ce qui vous aide à éviter les grignotages entre les repas favorisant ainsi la perte de poids. Il contient aussi des flavonoïdes qui sont des antioxydants connus pour prévenir l’oxydation du mauvais cholestérol et donc la prévention contre les maladies cardiovasculaires.
Cette concoction aura pour mérite de protéger votre corps au quotidien et de rétablir les fonctions vitales de l’organisme, vous offrant ainsi un état de santé des plus performants.
Pour cette recette, vous aurez besoin de :
- Une racine de gingembre de taille moyenne
- Deux citrons de taille moyenne également
- 500 grammes de miel bio
Preparation:
Commencez par laver les citrons et les couper en quartier. Par la suite, épluchez le gingembre et découpez-le en petits morceaux. Mettez le tout dans un bocal en verre avec un litre d’eau. Ajoutez-y le miel tout en veillant à ne pas remplir votre récipient à ras bord. Après 24h, déposez le bocal au frais dans un réfrigérateur et laissez macérer pendant un mois. Après 30 jours, la concoction sera prête à être utilisée.
Pour des résultats optimaux, vous pourrez consommer ce remède à raison de 2 cuillères à soupe par jour. Il est également possible de le diluer avec de l’eau pour une consistance plus légère.
Mises-en garde
Cette recette est déconseillée pour les femmes enceintes, allaitantes et les personnes souffrant de maladies du sang. Elle est également proscrite pour toute personne souffrant de troubles rénaux et biliaires, de brûlures et d’ulcère d’estomac. A savoir que le miel augmente le risque de botulisme infantile chez les nourrissons de moins d’un an.
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