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Baloji, l’auteur-chanteur-compositeur originaire de Lubumbashi exporte aujourd’hui son univers halluciné en vidéo.
Le 6 mai, Baloji se voyait remettre le prix principal du Festival international du court-métrage d’Oberhausen, en Allemagne, pour Zombies, un film de quatorze minutes sur l’addiction aux écrans dans un Kinshasa futuriste. Cette reconnaissance d’un festival de premier plan et sa dotation de 4 000 euros ont mis du baume au cœur à l’artiste, qui s’est épanché sur son compte Instagram. Il s’est dit « tellement honoré » par la récompense, « après avoir été rejeté par tant de commissions (“tu n’es pas un vrai réal”), de sponsors financiers (“finalement, on va pas pouvoir…”) et ignoré par les médias ».
Minifilm
« Balo » le mal-aimé venait de quitter le plateau de Clique TV lorsqu’on l’a interviewé. Béret noir, long imperméable à la Derrick, doigts alourdis par des bagues qu’il a lui-même dessinées… le créateur congolais installé en Belgique venait faire la promotion d’une nouvelle édition de
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