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Ministre de la Justice depuis 2010, Cheick Sako a présenté le 20 mai sa démission à Alpha Condé. Dans son courrier adressé au chef de l’État, entre autres motifs, il justifie sa décision par son opposition à toute modification constitutionnelle.
« Tirant les conséquences de votre silence depuis le 4 avril 2019, jour de notre entretien et de la remise du courrier vous demandant de me remplacer dans mes fonctions de ministre de la Justice, garde des Sceaux, je vous présente ma démission du gouvernement », écrit Cheick Sako dans un courrier adressé au président Alpha Condé le 20 mai dernier, que ce dernier a réceptionné.
Écrite depuis Montpellier, dans le sud de la France, où le ministre exerçait la profession d’avocat avant son entrée dans le gouvernement et où il réside actuellement, ce courrier – dont Jeune Afrique a obtenu copie, expose ses arguments, parmi lesquels la question de la révision constitutionnelle. Comme le chef de l’État, le Premier ministre Ibrahima Kassory Fofana a également été informé de cette décision par le ministre démissionnaire.
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