[ad_1]
Le désormais ex-ministre des Eaux et Forêts, Guy-Bertrand Mapangou, limogé en même temps que le vice-président Pierre Claver Maganga Moussavou, mardi dernier, affirme que l’un des documents qui le met en cause dans un trafic de kevazingo est un faux.
Limogé du ministère des Eaux et Forêts le 21 mai dans la soirée, Guy-Bertrand Mapangou ne décolère pas contre le Premier ministre, Julien Nkoghe Bekale. Mis en cause dans un trafic de kevazingo, un bois précieux interdit à l’exportation, il a appris son infortune à la télévision, alors qu’il était en réunion le jour même à la primature. Mapangou, limogé comme le vice-président Pierre Claver Maganga Moussavou, devait pourtant s’exprimer le lendemain à l’Assemblée nationale sur ce « kevazingogate ».
Cet article est réservé aux abonnés
Abonnez-vous à partir de 7,99€pour accéder à tous les articles en illimité
Déjà abonné ? Identifiez-vous ›
Vos avantages abonné
- 1. Accèdez en illimité à l’ensemble des articles sur le site et l’application Jeuneafrique.com (iOs & Android)
- 2. Bénéficiez en avant première, 24 heures avant leur parution, de chaque numéro et hors séries Jeune Afrique sur l’application Jeune Afrique Le Magazine (iOS & Android)
- 3. Recevez la newsletter économie quotidienne réservée aux abonnés
- 4. Profitez de 2 ans d’archives de Jeune Afrique en édition numérique
- 5. Abonnement sans engagement de durée avec l’offre mensuelle tacitement renouvelable*
*Service uniquement disponible pour les abonnements à durée libre.
[ad_2]
Source link
Have something to say? Leave a comment: