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Plusieurs facteurs incitent certains parents à opter pour le choix de l’adoption. Certains couples n’arrivent pas à concevoir un enfant, d’autres ont tout simplement envie d’agrandir leur famille en offrant un foyer à un enfant défavorisé. Toutefois, la raison essentielle qui anime la plupart des adoptants est le désir d’aimer, d’accompagner et d’aider ces enfants à grandir et de leur transmettre des valeurs familiales.
Ce n’est pas uniquement une question de solidarité sociale mais une envie éminente de donner de l’amour à un enfant, peu importe ses origines. Mais l’adoption nécessite une mûre réflexion de la part du couple puisque les démarches ne sont pas toujours faciles à entreprendre. Toutefois, les enfants adoptés, lorsqu’ils quittent leurs foyers d’accueil, semblent heureux de retrouver une nouvelle famille, certains clichés en sont une preuve formelle.
Des photos d’enfants adoptés illustrent leur bonheur de trouver une famille
L’association « Together We Rise » aux Etats-Unis, soucieuse de trouver un foyer aux orphelins et aux enfants abandonnés, a rassemblé un ensemble de photos, miroitant l’enthousiasme des enfants de trouver enfin un foyer aimant.
Cet enfant qui était en famille d’accueil pendant 924 jours manifeste sa joie d’être enfin adopté.
Un adorable bébé est reconnaissant d’avoir trouvé une famille adoptive.
On remarque ici la joie de cette petite fille arpentant une carte où il est mentionné la date à laquelle elle a été adoptée.
Un petit garçon enthousiasmé par le fait d’être adopté par une vraie famille après avoir vécu longtemps dans une famille d’accueil.
Une petite fille heureuse de ne plus faire partie des 102 000 enfants en familles d’accueil.
Un petit garçon adopté qui arbore fièrement une pancarte écrite par ses parents adoptifs et dans laquelle ils précisent qu’il est le cadeau que la vie leur a donné.
Une petite fille à l’allure de princesse qui est heureuse d’être enfin adoptée.
Un petit garçon adopté tout fier de porter le nom de sa famille adoptive.
Un petit garçon fier de partager son nouveau nom de famille.
Une petite fille fière de porter le nom de sa nouvelle famille.
Deux petits garçons fiers de participer à agrandir une famille.
La joie d’un petit garçon qui vient tout juste d’être adopté.
Une famille partage sa joie d’être officiellement au nombre de 4.
La frimousse d’une petite fille heureuse d’avoir été adoptée après avoir passé 642 jours en famille d’accueil.
Une célébration avec des ballons suite à l’adoption de ce bébé qui montre son enthousiasme et sa joie.
Adopter un enfant c’est aimer l’enfant d’une autre personne
Nombreux sont ceux qui se posent la question suivante en choisissant d’adopter : comment un amour maternel peut-il naître lorsqu’on ne porte pas soi-même cet enfant. Ce qu’il faut retenir de cette décision et de cette expérience est qu’il s’agit d’un acte d’amour et que le parent est déjà prêt à aimer cet enfant. Amour, patience et compréhension seront les clés de cette expérience.
Il est impératif de ne pas oublier que cet enfant a été abandonné que ce soit à la naissance ou à un âge avancé. Il est indispensable de ce fait de comprendre la psychologie de l’enfant adopté, son histoire et son vécu pour mieux gérer son adoption et son éducation.
Selon Bruno-humbeeck, Psychopédagogue, le développement d’un enfant adopté est souvent plus laborieux et compliqué que celui d’un enfant biologique. Pour un enfant conscient d’avoir été abandonné, la moindre réprimande de la part des parents adoptifs, peut créer un sentiment d’injustice. L’angoisse d’être abandonné encore une fois rejaillit souvent et le met en proie à une inquiétude redondante. D’ailleurs, le film intitulé « L’enfance nue » montre que dans le cadre d’une adoption, l’amour accordé à l’enfant n’est pas toujours suffisant car son passé de souffrance continue d’opérer. La patience et la compréhension sont donc de rigueur dans son éducation.
Pourquoi ces deux points sont importants ?
Lorsque l’affection a été brutalement retirée à l’enfant, voire refusée, ce dernier ressent un manque d’estime de soi et comprendre l’état de souffrance de l’enfant demeure indispensable pour l’aider à surmonter ce handicap émotionnel.
La patience a également un rôle déterminant ; celle d’attendre que tout rentre dans l’ordre en dépit du vécu de l’enfant.
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